samedi 30 mai 2015

Shopping : RN Estudio Humans vs Orcs

Devant Blood Bowl, me traverse souvent des envies de dépenses dignes d'un émir du Qatar et s'alignent donc dans mes tiroirs et sur mes étagères de nombreuses équipes d'origine et de nature très diverses. Quand les espagnols de RN Estudio (designers et imprimeurs 3D de figurines) se sont lancées dans la course avec une campagne de financement participatif destinée à donner naissance à une équipe orc et une équipe humaine, c'est sans grande résistance que je me suis laissé embarquer dans l'aventure. D'autant que des paliers avantageux permettaient de recevoir deux équipes pour à peine plus que le prix d'une seule et que le salaire des joueurs reste très correct.

L'équipe humaine. Pose variées et dynamiques, concepts originaux et possibilité de personnaliser encore un peu plus l'ensemble via un choix de têtes nues ou casquées.

mercredi 27 mai 2015

Coloriage : personnages Rogue Trader (suite)

Pas de long préambule (relisez la première partie de cette mise en image si nécessaire), juste une petite galerie de personnages qui s'ajoutent à ceux déjà peints pour accompagner les aventures rôlistiques de nos personnages à Dark Heresy puis Rogue Trader. Pas d'avant-après, pour cause d'absence d'image de la première version sous la main, mais juste un petit aperçu des derniers travaux.
Qarl Aghürsen, navigateur/sniper douillet (et flou) mais somme toute talentueux (d'où l'accumulation de moyens de protection et l'emploi d'une arme à longue portée). Un personnage Rogue Trader pur souche, il a rejoint le groupe au moment du glissement vers Rogue Trader.

jeudi 21 mai 2015

Shopping : bâche désertique

Dans l'océan des possibilités offertes à l'amateur d'affrontements par figurines interposées, outre le stockage et le soclage, la question du décor s'avère souvent prégnante au plus haut point. C'est en effet au travers du décor que s'opère une grande partie l'immersion des joueurs dans l'univers qu'ils recrées à coups de petits bonhommes, de peintures et de socles plus ou moins travaillés. Plus le décor se révèle adéquat, plus la plongée dans le jeu et son ambiance s'avèrent aisés. Hélas, tout le monde n'est pas doué des mêmes capacités et, sous les saints yeux de Sun Tzu ou de Clausewitz, les talents des hobbyistes du monde entier s'avèrent bien souvent aussi disparates que les avis sur le menu du jour ou le dernier résultat sportif de tel ou tel club. Fort heureusement, le temps est loin où il fallait se débrouiller avec des rouleaux d'essuie-tout et des boîtes de céréales repeintes à la truelle, les méandres de l'interweb et les possibilités techniques contemporaines peuvent aujourd'hui pallier les défauts rédhibitoires des tables tristes des joueurs les moins créatifs.
"Vers l'infini et au-delà !". Faut avouer que ça rend mieux que la nappe de la table du salon, non ?

lundi 18 mai 2015

A quoi on joue ? : Song of Blades and Heroes

N'est pas figuriniste celui qui n'accumule pas les petits bonhommes "pour le jour où...". En résulte une collectionnite plus ou moins aigüe et des rangées hétéroclites allant du lointain futur à l'antiquité en passant par les mondes fantastiques et les périodes historiques les plus riches en massacres militaires de tous ordres. Eparpillée entre des gammes multiples parfois complémentaires d'autres beaucoup plus éloignées, la pile de plomb et de plastique finit parfois par prendre la poussière dans les tréfonds d'un carton en tattendant de recevoir un peu de peinture et de servir "un jour" sur une table. Le Graal (un Graal du moins), reste donc le sytème générique, celui qui permet d'aligner sur la même table des personnages d'horizons très divers pour peu qu'une peinture et un soclage commun leur donne un semblant de cohérence. A ce petit jeu, la règle publiée par Andrea Sfiligoi et Ganesha Games possède de jolis atouts.

Confrontation est mort, massacré dans une arrière-cour par les mauvaises décisions du sinistre Bey, mais les figurines survivent et constituent une base parfaite pour une bande de Song of Blades and Heroes ou "Barbares à l'aube dans la lande"

lundi 11 mai 2015

Trompettes de la renommée : nouveau moteur au Garage et nouvelles couleurs de zine

Le monde ludique est petit (de 28mm à 6mm en général en ce qui nous concerne), mais il est également très fourni et très divers. Les goûts des uns et des autres étant différents, il s'avèrent parfois difficile d'être au courant de la diversité des propositions ludiques concernant nos chers petits bonhommes. Heureusement, à l'heure où la frontière se brouille volontiers entre les affrontements entre figurines et certains jeux de plateaux (vaste débat pour un autre jour), l'interweb, ses multiples recoins et ses nombreux hérauts et héros permet aujourd'hui au joueur curieux de se tenir informé sur les multiples propositions de son activité préférée. Pourquoi ce long préambule ? Parce qu'aujourd'hui, pas question d'évoquer un quelconque projet ludique personnel (oui, je rentre de vacances ;) ) mais bien de mettre en lumière deux initiatives louables.
Non, je ne vous parlerai pas (beaucoup) de Ravage Respawn, la Renaissance du Retour de la Revanche...

lundi 4 mai 2015

A quoi on joue ? Man o War

Dans la série on se replonge dans les vieux jeux de la grande époque de la marque rouge et jaune venue d'outre-Manche : Man o'War. Bien qu'étant passée sous mes yeux à l'époque, la boîte était restée une proposition nouvelle mais distante de mes préoccupations de l'époque. Près de 20 ans et une belle occasion découverte voilà quelques années (quelques mois avant que Dreadfleet ne pointe sa proue sur les rayons) me permirent de plonger dans l'univers de jeu d'affrontements maritimes made by GW. Sans surprise, après les farouches batailles qu'elles se livrent sur tous les territoires du Vieux Monde, les armées phares de la marque ont décidé de porter l'affrontement sur les sinistres mers du Vieux Monde (oui, même les nains et les skavens). Branle-bas de combat, tous à vos postes, hissez la grand-voile, actionnez les rames, sortez les canons, mettez les gaz, Man o War est là !
"Raging Sea Battles in the world of Warhammer" ou comment, très tôt, on a su utiliser la surenchère linguistique pour vendre du blister chez Games Workshop.